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S'està carregant… O africanode J. M. G. Le Clézio (Autor)
Informació de l'obraL'Africà de Jean-Marie Gustave Le Clezio
![]() No hi ha cap discussió a Converses sobre aquesta obra. ![]() > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Le-Clezio-LAfricain/11094 > BAnQ (Brault J., Le devoir, 29 sept. 2004, p. 6) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2814228 > Nuit blanche (No 98, printemps 2005, p 57-58) : https://id.erudit.org/iderudit/19084ac > Québec français (No 135, automne 2004, p 19-20) : https://id.erudit.org/iderudit/55550ac > L’AFRICAIN / J.M.G. Le Clézio. — L’Africain de J. M. G. Le Clézio est moins un livre sur le père qu’une interrogation sur l’héritage. A travers son itinéraire, ses choix de vie, ses valeurs et même ses contradictions, qu’est-ce qu’un père transmet à son fils ? Entre l’auteur et son père, le rendez-vous fut-il manqué ? Du texte sourd, avec une conviction évidente, une horreur du luxe, du colonialisme, de la misère, un amour profond pour l’Afrique, pour les valeurs humaines. Chaque lecteur peut se retrouver dans ce cheminement. Les souvenirs d’enfance se mêlent à la réflexion critique de l’adulte. « Tout être humain est le résultat d’un père et d’une mère…Tout cela est passé en nous. » Et J. M. G. Le Clézio emporte le lecteur en Afrique. Des photographies balisent le chemin d’écriture. Voyage géographique et voyage intérieur. « Il m’a fallu retourner en arrière, recommencer, essayer de comprendre. » Alors le lecteur, avec l’enfant, embarque pour l’Afrique. Il découvre « la beauté des corps nus, brillants de sueur, les silhouettes larges des femmes, les enfants accrochés à leurs hanches », la beauté des noms de villages, des fleurs. « L’Afrique c’est la violence des sensations, des appétits, des saisons, de toute la nature. » L’Afrique a marqué l’auteur de façon indélébile. Le père aborde ce continent par l’intérieur à l’opposé des administrateurs coloniaux cantonnés sur les côtes et dans leur mépris de l’indigène. Dans la luxuriance de cette nature, à Ogaja, l’enfant découvre le bonheur de la vie sauvage « qui restera son trésor », le contraire de la vie austère et étroite des années niçoises. Son père consacrera sa vie à l’Afrique, son retour en France sera une cassure irréparable qui le rendra « usé et amer, un exilé de sa vie, de sa passion, un survivant ». Dans ce texte, aucune idéalisation nostalgique. L’Afrique est aussi pays de guerres permanentes des hommes, de la pauvreté, des mauvais traitements, de la corruption, des insectes. Le métier de « l’Africain » est dur mais il connaîtra des joies immenses avec sa femme et des douleurs aussi dues à la séparation de la guerre. L’enfant ne connaîtra son père qu’à huit ans et il aura du mal à créer un lien avec cet homme dur, brutal qui prône rigueur et discipline. Mais ce qui restera dans sa mémoire d’adulte c’est le respect pour ses valeurs, pour son être au monde. Alors, maintenant que le père est mort depuis longtemps, peut-on parler d’un rendez-vous manqué ? Il suffit que le lecteur se replonge dans les ouvrages de J. M. G. Le Clézio pour avoir la réponse. Dans son écriture, on retrouve toute la sensualité de l’Afrique et dans sa quête, le sens de l’être. Les valeurs essentielles de son père ont bien guidé sa vie. L’énergie vitale dont il a hérité, les richesses du coeur, le goût de l’ailleurs, la foi profonde en l’homme autant de cadeaux qui jalonnent son oeuvre et qu’il offre au lecteur sans réserve. Paris : Mercure de France, 2004. -103 p. : ill. ; 21x14. - (Traits et portraits) 843.01 Nouvelles, textes et récits français. - ISBN 2-7152-2470-2 : 15,50€ --Bulletin critique du livre en français, n° 665, décembre 2004 (pp. 76-77) > L'AFRICAIN (2004). — Avec ce livre dédié à son père, Le Clézio ravit encore notre critique Jacques Folch-Ribas : « Ce n’est pas un “petit” livre, parce qu’il est à la gloire de ce père avec lequel, dit le fils, “je me suis mal conduit”, qui méritait cent fois cet hommage et cette amitié, la forme la plus haute de l’amour. » – (Chantal GUY) --La presse, 10 oct. 2008, p. 3 : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2208872 2015 https://www.librarything.com/topic/191940#5250844 (link goes to an LT page with my positive, but brief comments) Siempre imaginé que un médico de África era un ser especial. Lejos de la civilización y de la familia, si aún no la tenía. El exotismo, la incógnita del lugar desconocido pero visto en películas... "El africano" es mucho más que eso. Adentrarse en su lectura es adentrarse en la selva misma, en la pobreza, pero en la convivencia con la naturaleza, que se vuelve cercana, al lector. Un hijo que cuenta, con ojos de niño asombrado, lo que supo de la vida de su padre, viviendo con él, buscando su rostro en Francia, creciendo en la escritura, al punto de ganar el Premio Nobel 2008: ése es Gustave Le Clézio. “L’africano” è il medico, padre dell’autore, che questi conosce solo all’età di 8 anni, quando lo raggiunge, con la madre, in Nigeria. È il 1948. Le Clézio conduce il lettore sul suo stesso cammino di scoperta dell’Africa. «Ricordo bene ciò che ho ricevuto dall’Africa al nostro primo incontro: una libertà così intensa che mi eccitava, mi inebriava, mi procurava un piacere quasi doloroso. Non voglio parlare di esotismo: i bambini sono assolutamente estranei a questi vizio». Da notare la traduzione, elaborata da ben quattordici mani, tutte femminili. 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African is a short autobiographical account of a pivotal moment in Nobel-Prize-winning author J. M. G. Le Clezio's childhood. In 1948, young Le Clezio, with his mother and brother, left behind a still-devastated Europe to join his father, a military doctor in Nigeria, from whom he'd been separated by the war. In Le Clezio's characteristically intimate, poetic voice, the narrative relates both the dazzled enthusiasm the child feels at discovering newfound freedom in the African savannah and his torment at discovering the rigid authoritarian nature of his father. The power and beauty of the book reside in the fact that both discoveries occur simultaneously. While primarily a memoir of the author's boyhood, The African is also Le Clezio's attempt to pay a belated homage to the man he met for the first time in Africa at age eight and was never quite able to love or accept. His reflections on the nature of his relationship to his father become a chapeau bas to the adventurous military doctor who devoted his entire life to others. Though the author palpably renders the child's disappointment at discovering the nature of his estranged father, he communicates deep admiration for the man who tirelessly trekked through dangerous regions in an attempt to heal remote village populations. The major preoccupations of Le Clezio's life and work can be traced back to these early years in Africa. The question of colonialism, so central to the author, was a primary source of contention for his father: "Twenty-two years in Africa had inspired him with a deep hatred of all forms of colonialism." Le Clezio suggests that however estranged we may be from our parents, however foreign they may appear, they still leave an indelible mark on us. His father's anti-colonialism becomes The African's legacy to his son who would later become a world-famous champion of endangered peoples and cultures. No s'han trobat descripcions de biblioteca. |
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![]() GèneresClassificació Decimal de Dewey (DDC)843.914Literature French French fiction Modern Period 20th Century 1945-1999LCC (Clas. Bibl. Congrés EUA)ValoracióMitjana:![]()
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