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> Une épopée émouvante dans le pays du froid, Jean Malaurie nous fait aimer ces compagnons Inuits et ce continent de glace. La fin du livre est comme un coup de tonnerre, une base nucléaire Américaine qui se construit à côté du village Inuit, terrible destin et rencontre de deux univers opposés. On vibre avec l'auteur dans la fraicheur du grand nord, avec les légendes et les plaisanteries, les jeux de ces peuples du froid. Un grand livre et un grand témoignage... —Paul Pujol, Babelio
> LES DERNIERS ROIS DE THULÉ, de Malaurie Jean. Se reporter au compte rendu de H. B. In: Population, Vol. 10, No. 3 (Jul. - Sep., 1955), p. 566 URL: https://drive.google.com/file/d/1TbqSJr6L7jMTUnpcrjJFtvWyq348PHha/view?usp=shari... En 1950, J. M. passa seul une année entière au milieu d’un groupe d’Eskimos relégué « à la limite de l’humanité », à l’extrême nord au Groenland. Ces populations qui, écrit André Cholley dans la préface « ont montré, vis-à-vis du milieu naturel particulièrement hostile où elles se trouvaient établies, une endurance, une ingéniosité exceptionnelles » se trouvent aujourd’hui en présence d’une situation plus dramatique encore « celle qui résulte de l’adaptation à des conditions nouvelles de vie dues au contact que la disparition de leur isolement leur a imposé avec notre civilisation ». Peintre vif et saisissant de ces hommes et de leur culture, qu’il nous fait connaître par des anecdotes, des légendes ou le rappel d’explorations antérieures, J. M. fait le récit de son séjour, de son parcours de 1.500 kilomètres, joignant le Groenland au Canada, et aussi de la création, en juillet 1951, de la base américaine de Thulé. Cet événement pose le problème classique de l’intégration au monde moderne d’une population archaïque. Parmi les observations scientifiques que J. M. a rapportées, celles qui concernent la composition des familles eskimos doivent faire l’objet d’une étude génétique ultérieure. Paris, Plon, 1955, 1 vol. in-8°, 325 p. —H. B.
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"On ne peut pas connaître un pays par la simple science géographique... O ne peut, je crois, rien connaître par la simple science ; c'est un instrument trop exact et trop dur. Le monde a mille tendresses dans lesquelles il faut se plier pour les comprendre avant de savoir ce que représente leur somme... Seul le marin connaît l'archipel."
Jean GIONO (L'eau vive)
"Tous les pays qui n'ont plus de légende Seront condamnés à mourir de froid..."
Patice de la TOUR DU PIN.
Dedicatòria
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Ce livre est d'abord un hommage à l'explorateur danois Knud Rasmussen, à l'Homme "que son rire précédait", à celui qui fonda Thulé.
Ce livre est dédié aux Esquimaux Polaires de Thulé
Primeres paraules
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AVANT-PROPOS
Par delà un témoignage, un des buts de ce livre est de s'interroger sur l'avenir des Esquimaux de Thulé. [...]
PREMIERE PARTIE
LE GROENLAND EST UN "PAYS VERT"
Le navire s'engage lentement dans l'allée d'eaux, tranquille du Vaïgat. Il jette l'ancre devant Qutdligssat, centre minier ; c'est ici la grande île de Disko. [...]
Citacions
Darreres paraules
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[...]. - Nous sommes forts, disent les américains. Déclaration impérieuse et péremptoire. L'affirmation fait revivre en nous, elle fait sourdre dans l'esprit de ce peuple arctique à l'histoire légendaire, le mythe de l'heureux sauvage d'avant la chute.
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Préface d'André Cholley (pour la première édition), Plon, 1955, 328p. ; deuxième édition en 1965, 508p. troisième édition en 1976, 592p. quatrième édition en 1979, 656p. cinquième édition en 1989, 854p.
Editor de l'editorial
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Llengua original
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> BAnQ (Fontaine L., Québec science, 2003, Avril) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2874299
> Une épopée émouvante dans le pays du froid, Jean Malaurie nous fait aimer ces compagnons Inuits et ce continent de glace. La fin du livre est comme un coup de tonnerre, une base nucléaire Américaine qui se construit à côté du village Inuit, terrible destin et rencontre de deux univers opposés.
On vibre avec l'auteur dans la fraicheur du grand nord, avec les légendes et les plaisanteries, les jeux de ces peuples du froid. Un grand livre et un grand témoignage...
—Paul Pujol, Babelio
> LES DERNIERS ROIS DE THULÉ, de Malaurie Jean.
Se reporter au compte rendu de H. B.
In: Population, Vol. 10, No. 3 (Jul. - Sep., 1955), p. 566
URL: https://drive.google.com/file/d/1TbqSJr6L7jMTUnpcrjJFtvWyq348PHha/view?usp=shari...
En 1950, J. M. passa seul une année entière au milieu d’un groupe d’Eskimos relégué « à la limite de l’humanité », à l’extrême nord au Groenland. Ces populations qui, écrit André Cholley dans la préface « ont montré, vis-à-vis du milieu naturel particulièrement hostile où elles se trouvaient établies, une endurance, une ingéniosité exceptionnelles » se trouvent aujourd’hui en présence d’une situation plus dramatique encore « celle qui résulte de l’adaptation à des conditions nouvelles de vie dues au contact que la disparition de leur isolement leur a imposé avec notre civilisation ».
Peintre vif et saisissant de ces hommes et de leur culture, qu’il nous fait connaître par des anecdotes, des légendes ou le rappel d’explorations antérieures, J. M. fait le récit de son séjour, de son parcours de 1.500 kilomètres, joignant le Groenland au Canada, et aussi de la création, en juillet 1951, de la base américaine de Thulé. Cet événement pose le problème classique de l’intégration au monde moderne d’une population archaïque.
Parmi les observations scientifiques que J. M. a rapportées, celles qui concernent la composition des familles eskimos doivent faire l’objet d’une étude génétique ultérieure. Paris, Plon, 1955, 1 vol. in-8°, 325 p.
—H. B.