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S'està carregant… Shangri-La (2016 original; edició 2016)de Mathieu Bablet (Autor)
Informació de l'obraShangri-La de Mathieu Bablet (2016)
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Apunta't a LibraryThing per saber si aquest llibre et pot agradar. No hi ha cap discussió a Converses sobre aquesta obra. très bel album. L’humanité survit dans une station spatiale en orbite autour de la terre devenue inhabitable depuis des siècles. La station spatiale est dirigée par un consortium industriel Tianzhu. Les habitants de la station travaille pour Tianzhu, dépense et consomme Tianzhu, s’endette chez Tianzhu. De mystérieuses explosions dans des laboratoires orbitales sur lesquelles enquête Scott, sont en fait des essais avec de l’anti-matière pour créer une nouvel être humain « Homo Stelaris » en vu de coloniser Titan, satellite de Saturne qui a été terraformé. Des révoltes surgissent au sein de la station manipulé par un groupe de résistant à Tianzhu…. Avec cette fable, Mathieu Bablet brasse de nombreux thèmes dénonçant notre société actuelle, société de consommation, manipulé et abêti par les marques, société dont l’infime minorité de dirigeants se protègent et assurent leur survie en sacrifiant le reste de l’humanité. Il dénonce par allégorie le racisme et ce besoin pour controller les foules de donner en pâture des boucs émissaires, l’immigré, le juif avant, ici l’animoïde, sorte de animal 2.0 qui parle et pense mais reste considéré comme des montres. Une société dont les multiples objets de consommation sont produits loin par des foules d’esclaves… Bref un très bel d’album d’anticipation qui ne fait que pousser un peu plus loin une situation déjà existante et qui pousse à se poser les bonnes questions. Dans un monde où les gens ne prennent plus la peine de réfléchir et où tout le monde doit avoir un avis sur tout (p80) Ce que nous ont montré les sociétés des siècles passés, c’est qu’un régime autoritaire n’est pas viable par la force et par la terreur… Le contrôle doit être consenti par la population qui y verra une forme de sécurité pour elle-même (p116) Il est compliqué de faire comprendre aux gens que leurs habitudes peuvent avoir des conséquences et qu’il faudrait sacrifier leur confort pour des raisons qui sont bien loin d’eux. (P144) Sense ressenyes | afegeix-hi una ressenya
A few hundred years in the future, humans live in a space station far from Earth governed by a cultured multinational corporation. On the surface, everyone seems to be satisfied with this "perfect society" and they are set on pushing their own limitations to become equal to gods. They are near to setting up a program aimed at creating life from scratch on Shangri-La, one of the most hospitable regions of Titan, where they intend to rewrite "Genesis" in their own way. But as tends to happen, mankind's hubris gets in the way... Spanning a period of a thousand years, this science fiction epic begins after mankind has abandoned earth to live in space stations run by corporate governments. After an introductory sequence amidst the ruins of Earth, it leaps from our desolated planet into this firmly established future, where life is good and all needs are met. But that longevity isn't enough, and science is ready to use its genetic knowledge to breed the next generation of humans for colonization. Far from being just another science fiction adventure, author Mathieu Bablet uses this scenario to observe and comment on many core qualities that mankind can't seem to outgrow: consumerism, jealousy, distrust, entitlement, ambition, curiosity, and - ultimately - violence. Through a cinematic visual style and dramatic pacing, this book proves to be much weightier and thought-provoking than even its 220-page length would suggest. No s'han trobat descripcions de biblioteca. |
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Google Books — S'està carregant… GèneresClassificació Decimal de Dewey (DDC)741.5The arts Graphic arts and decorative arts Drawing & drawings Cartoons, Caricatures, ComicsValoracióMitjana:
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Mais si certaines planches sont magnifiques, d’autres m’ont laissé froid et fatalement, au fil de la lecture, je me suis éloigné.
Reste un space opera graphique impressionnant au service d’une critique sociale très contemporaine de nos compulsions acheteuses abruties par un pouvoir économique omnipotent. Portrait d’une société lobotomisée qui court à sa perte en croyant à un paradis promis lui permettant d’oublier les oeillères qu’elle s’est mise elle-même.
Un album au flashback éblouissant ( )