This is a second Duras book for me. I don't really appreciate her writing much. This book is one of the India books. I didn't read the first one but Anne-Marie Stretter appears in this book as well as The Ravishing of Lol Stein. There are 3 main characters; Anne-Marie of course, wife of the French Ambassador, the vice-consul of Lahore who is who is odd and doesn't fit in or connect with others, and a mad, beggar woman who was thrown out of her family for being pregnant. It is very hard for me to see how these people connect with each other. The beggar woman, really just a girl is such a sad situation. Thrown out for bringing shame on the family. Surviving but for what does she survive and she is contrasted against Anne-Marie who lives in opulence, decadence, sexual promiscuity and yet is accepted. These women are contrasts. The Vice-Consul is a bit mad too. He shoots off his gun and then is called from his position and is waiting in Calcutta for a new post. No one talks to him. He is pretty much isolated. Apparently he has an attraction to Anne-Marie but she will not be having anything to do with him even though she does invite him to the party. Common themes or elements in Duras writing; dancing, poverty, lying, adultery, madness and desire. The book also looks at colonialism and the colonized, opulence and squalor. ( )

El silencio se cierne en torno al ex vicecónsul de Francia en Lahore. Tras los extraños sucesos acaecidos en su antiguo destino, ahora, en el presente compás de espera al cual se ve obligado, la imposición de un silencio por parte de su colegas y su propio mutismo. Asimismo un calor oprobioso, una sensación de pesantez, lo envuelve todo y a todos : a Peter Morgan, el escritor que pretende reinventar la miseria ; a la mujer del embajador de Francia, que ya sólo sueña en infancias lejanas y en su villa de las islas ; a las pistas de tenis desiertas ; a la tristeza inconclusa de Jean Marc de H., el ex vicecónsul de Francia en Lahore, que se prolonga, vez tras vez, en la repetición constante de una melodía, Indiana´s Song, único sustento posible de un amor que ya nació muerto. ( )

Le Vice-consul est une oeuvre sans histoire particulière qui se déroule à Calcutta. Il s'agit d'un court roman à l'atmosphère moite et étouffante qui donne voix à des personnages flous qui se rencontrent, se racontent -à travers des dialogues souvent disloqués, parfois anonymes ou presque- et s'observent. On y retrouve Anne-Marie Stretter, femme volage et fascinante que les hommes convoitent, celle qui ravit l'amant de Lola V. Stein dans un roman publié deux ans plus tôt (en 1964), celle que le Vice-Consul qui dit ne jamais avoir connu ni aimé de femme, convoite également.
On y retrouve aussi le personnage obsédant et effrayant de la mendiante que Marguerite Duras a souvent incarnée dans son oeuvre à partir d'une véritable scène dont elle aurait été témoin dans sa jeunesse en Indochine.
Elle est évoquée dans le livre qu'un certain Peter Morgan est en train d'écrire. La fiction, la méta-fiction, la réalité et le rêve se côtoient et s'entremêlent sans cesse, sans que le lecteur puisse en dessiner les frontières,
Un beau texte, particulièrement "durassien" dans son ambition formelle. ( )

livre et film "India Song" sont indissociables pour moi; ils suscitent des émotions indiscibles, entrent en résonance avec moi; ce n'est pas une critique qui vous aidera à comprendre le sujet du livre.....Alors disons: inde, calcutta, la mendiante, la mousson, Aurélia Steiner, le piano, le vice-consul, le cri,... ( )