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Endlich Stille (2005)

de Karl-Heinz Ott

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2231,011,598 (3.5)1
In Straßburg steht am Bahnhofsausgang plötzlich dieser Mensch neben dem Erzähler (αSuchen Sie auch ein Hotel?±) und will ihm nicht mehr von der Seite weichen. Von Stund an wird der Basler Philosoph und Spinoza-Experte von diesem Schwadroneur und angeblichen Musiker so lange belagert, tyrannisiert, unter den Tisch getrunken und an die Wand geredet, bis es nur noch einen schrecklichen Ausweg gibt ... Der Roman handelt von den verheerenden Konsequenzen, die sich ergeben können, wenn man einen Fremden nicht im entscheidenden Augenblick wieder loswird. Er erzählt davon, wie sich der Alltag eines Menschen in kürzester Zeit fatal verändern kann. Ohne daß die Beteiligten spüren, auf welches Verhängnis sie sich zubewegen, nehmen die Dinge ihren Lauf. Ein wunderbar abgründiger Roman, dessen Komik aus dem Schrecken stammt und dessen Musikalität die Ereignisse bis zuletzt in der Schwebe hält.… (més)
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Das ist schon eine sehr witzige Idee: Ein Mensch drängt sich in das Leben des Erzählers und weil jener völlig unfähig ist, den Eindringling loszuwerden, macht sich jener immer mehr breit. Das ist ungewöhnlich, amüsant und beklemmend zugleich. ( )
  Wassilissa | Oct 26, 2018 |
Ce qui m’a fait emprunter à la bibliothèque ce livre, c’est que quand je l’ai ouvert au hasard je suis tombée sur la page 131

Pour la première fois de ma vie, j’étais confronté à quelqu’un à qui la distance instinctive était inconnue. Même s’il m’était déjà souvent arrivé de me faire prendre au dépourvu, importuner ou contraindre à des choses que je devais subir, ne serait-ce que de supporter des invités qui s’incrustent dans votre cuisine jusqu’à l’aube bien que vous bâilliez depuis des heures, ou bien de se laisser imposer des sujets de cours ou de séminaire qui vous ennuient à mourir, tout cela restait vivable. Ça n’allait pas sans tension intérieure, mais ça passait. Cela faisait partie de la gestion du quotidien, parce qu’il faut bien s’arranger avec les autres, qu’on est soumis à des règles et qu’on ne peut pas passer pour un sauvage, et surtout parce qu’on craint secrètement d’avoir un jour besoin d’aide mais de s’être acculé à une solitude irrémédiable à force de s’être trop mis en marge.

Je me suis dis c’est moi cela (même si je rencontre plein de gens qui ne respectent pas mes distances à moi, il faut dire que j’ai une très faible tolérance à propos de cela) et je crois que je n’ai même pas fini de lire la quatrième de couverture et je l’ai embarque. Bonne pioche et donc bonne découverte !

Le narrateur est professeur de philosophie, spécialiste de Spinoza, à Bâle. La seule chose que je sais de Spinoza c’est ce qui est dit dans la quatrième de couverture. Il a fait une théorie sur le libre arbitre. Tout cela pour dire qu’il y a sûrement plein d’aspects de ce roman qui m’ont échappé mais j’ai aimé quand même.

Je reprends sur le narrateur : il vient de cesser la vie commune avec sa copine, même s’ils continuent à se fréquenter et qu’elle a un autre amoureux. Le point de désaccord était que notre narrateur était un indécis, qui n’était pas assez ferme et qui attendait trop souvent que la situation se règle d’elle-même.

Pour se consoler il a été faire une petite excursion à Amsterdam (je ne suis plus sûre) et fait au retour une escale à Strasbourg, où il a été la dernière fois avec sa copine. Sur le parvis de la gare, il rencontre Friedrich, musicien allemand, qui s’incruste avec lui (il manque deux pages au livre de la bibliothèque et je ne peux donc pas vous en dire plus sur le pourquoi du comment). Ils passent la soirée ensemble à aller de bar en bar. Passer la soirée ensemble est un bien grand mot car en fait, la narrateur passe toute la soirée à écouter Friedrich en pensant que c’est un poison et en se disant que demain il en sera débarrassé car il ne doit rester que la soirée à Strasbourg. il lui donne une fausse adresse et un faux numéro de téléphone pour ne pas que Friedrich le recontacte.

Après quelques temps, le narrateur oublie l’aventure même si intérieurement elle le rend mal à l’aise car il n’a pas su mettre de frein à sa nouvelle connaissance. Un jour, il reçoit un coup de fil de Friedrich qu’il va passer par Bâle en allant à Zurich. Le narrateur essaie de s’en débarrasser en disant qu’il va aller trois mois aux États-Unis. Il croit que c’est bon mais il a un ami qui arrive pour quelques jours à l’aéroport. Et là, stupeur de chez stupeur, l’ami est accompagné de Friedrich qu’il a rencontré dans l’avion.

Vous aurez compris que cela sonne le glas de la tranquillité de notre narrateur qui vient pourtant d’entamer ses vacances universitaires. Friedrich va s’incruster pour des semaines mettant bien à mal la patience du narrateur. La fin m’a fait rire même si elle n’est pas drôle car elle est identique au film de Tom Tykwer que je regardais en même temps, Winterschläfer.

C’est un livre qui est très agréable à lire : histoire bien menée, personnages bien décrits, style pas complique, pas trop simple. Je n’ai pas vraiment grand chose à en dire car je ne suis pas assez littéraire pour cela. Ce qui fait le plus du livre, c’est la manière dont l’auteur arrive à faire voir le point de Friedrich à travers celui du narrateur. Le narrateur est le narrateur, c’est lui qui raconte tout au long du livre. Si l’auteur s’était contentée de quelque chose de classique, on n’aurait du avoir que son point de vue alors qu’ici l’auteur arrive à nous suggérer que peut-être l’histoire est tout autre que celle que l’on croit. Il le fait à plusieurs reprises semant ainsi le doute sur notre sentiment. C’est ce que personnellement j’ai beaucoup aimé. ( )
  CecileB | Feb 26, 2014 |
Karl-Heinz Ott - Endlich Stille

Am Bahnhof steht plötzlich dieser Mensch neben dem Erzähler: »Suchen Sie auch ein Hotel« - und weicht ihm nicht mehr von der Seite. Von nun an wird der Baseler Philosoph von diesem Schwadroneur so lange belagert, tyrannisiert, unter den Tisch getrunken und an die Wand geredet, bis er sich nicht mehr zu helfen weiß ... Ein Roman über die Grenzen der Zurückhaltung und den ungleichen Kampf von Höflichkeit und Dreistigkeit. Abgründig und virtuos. (Kurzbeschreibung aus Amazon)

Dieser Tipp eines Buchhändlers hat sich echt gelohnt! Mit viel Virtuosität erzählt Ott von einer Situation, wie wir sie eventuell ähnlich schon erlebten: Wann wird es Zeit klipp und klar Nein zu sagen und Grenzen zu ziehen? Wann werden wir Opfer der Unverfrorenheit der anderen, aber auch unserer eigenen Zaghaftigkeit? Wie sehr diese Erzählung dann fast grotesk anmutet und sich in ihrem Ausgang schon andeutet, so erscheint sie doch rgendwie plausibel. Dazu kommt, dass Ott, wenn ich nun seine Biographie sehe, viele Elemente seines Lebens oder Wissens einspielen lässt: Ein Teil der Handlung spielt in Basel, im Text tauchen auch exkurshaft wirkende Passagen über Philosophie und Musik auf. Für mich eine schöne Entdeckung!!!

Karl-Heinz Ott wurde 1957 in Ehingen bei Ulm geboren. Er besuchte ein katholisches Internat und studierte Philosophie, Germanistik und Musikwissenschaft. Anschließend arbeitete er als Dramaturg in Freiburg, Basel und Zürich. 1998 erschien sein Romandebüt»Ins Offene«, das mit dem Förderpreis des Hölderlin-Preises und dem Thaddäus-Troll-Preis ausgezeichnet wurde. »Endlich Stille« ist Otts zweiter Roman

Broschiert: 206 Seiten
Verlag: Dtv (April 2007)
Sprache: Deutsch
ISBN-10: 3423135514
ISBN-13: 978-3423135511 ( )
  tomfleo | Nov 17, 2008 |
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Valoració

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3
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4.5
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