I loved the first book in this trilogy. But my time was somewhat busy so I didn’t get to breeze thru and enjoy this book in the same way. But. I still really liked it. The book continues focusing on the lives of the children of Mathilda and Amine and focusing on the turmoil of Morocco. ( )

The second volume of a proposed trilogy, which I read immediately after volume 1.
I enjoyed the first volume, and enjoyed this one even more. I think the author is growing as she writes.
The life of the family, and the life of Morocco, warts and all, continue to engage the reader.
This is fine historical fiction, and I'm eagerly looking forward to the publication of the promised third volume. ( )

1968. Gracias a su tesón, Amín ha conseguido convertir sus tierras áridas en una finca floreciente. Ahora pertenece a una nueva burguesía que prospera, organiza fiestas y se divierte: contempla el porvenir con optimismo. A su esposa Mathilde, en cambio, todo ese bienestar material no logra arrancarle la certeza de haber perdido los mejores años de su vida durante la guerra y, luego, cuidando de la casa y de Aicha y Selim, sus hijos. Pero al Marruecos independiente le cuesta consolidar su nueva identidad, a caballo entre el arcaísmo y la ilusoria tentación de la modernidad occidental, entre la obsesión por la imagen que uno da de sí mismo y las heridas de la vergüenza. En ese agitado periodo, que oscila entre la represión y el hedonismo, los jóvenes deberán pronunciarse, hallar su voz y su camino.

Miradnos bailar es la continuación de un vibrante y emotivo fresco familiar, cuajado de personajes inolvidables, en el que Leila Slimani conjuga magistralmente lo íntimo y lo político, lo psicológico y lo social.

J'ai adoré ce deuxième tome autant que le premier et j'espère qu'il y en aura un troisième. Slimani a un vrai talent pour la description avec une économie de mots, chacun est pesé pour créer une riche fresque de paysages, de personnages, d'émotions et de situations. La famille Behlaj est campé dans un monde politique, historique et sociologique que le lecteur peut sentir, écouter, voir et toucher. À travers ses yeux, le lecteur est complètement dépaysé, projeté dans un autre lieu, dans un autre temps. Je pourrai y passer encore des heures sans me lasser. ( )

Dans le deuxième volet de cette fresque familiale, Amine et Mathilde ont fait fortune, les enfants sont devenus adultes, c’est les années 60 : les études, les hippies, la remise en question de la royauté marocaine. Un roman ample, qui brasse de nombreux personnages, mais n’arrive pas toujours à les englober et passe de l’un à l’autre sans véritablement les suivre, à ce stade de la trilogie. On y retrouve cependant la chaleur du sud, les interrogations sur l’identité et l’appartenance culturelle et intellectuelle et un regard analytique sur les relations de classes sociales et les incompréhensions familiales. ( )