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S'està carregant… L'erreur, un outil pour enseignerde Jean-Pierre Astolfi
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Les erreurs des élèves ont souvent été considérées de façon négative. A partir d'exemples, l'ouvrage permet de les appréhender autrement en les utilisant de façon positive. Autrefois véritable objet de sanction, l'erreur devient aujourd'hui un indice pour mieux comprendre le processus d'apprentissage. No s'han trobat descripcions de biblioteca. |
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Google Books — S'està carregant… GèneresClassificació Decimal de Dewey (DDC)370.152Social sciences Education Education Theory of education; Meaning; Aim Psychology applied to educationValoracióMitjana: Sense puntuar.Ets tu?Fes-te Autor del LibraryThing. |
Je fais mon mea culpa, je m’attendais à trouver une méthode pour décrypter les erreurs de nos chères têtes blondes, afin de comprendre leur raisonnement, et là où il pèche, et pouvoir ainsi affiner un enseignement, une réexplication ou un étayage. Non, ce livre est plutôt une mise au point qui montre que l’erreur est une étape normale, désirable même, du processus d’apprentissage, car elle reflète les représentations initiales de l’apprenant ou bien un stade de développement cognitif donné. Il faut donc accepter l’erreur dans le processus d’apprentissage et lui donner toute sa place.
Il ne faut donc pas s’attendre à un ouvrage pratique sur le traitement de l’erreur au quotidien, mais plus une réflexion philosophique sur la place de l’erreur dans le processus d’apprentissage. Intéressant, mais à mûrir pour en tirer des enseignements à mettre en œuvre au quotidien dans une classe.
Et pour finir, je ne peux m’empêcher de noter en souriant le côté très académique de la démonstration en trois partie (il y en a quatre d’après le sommaire, mais la dernière est très clairement une conclusion, tant par sa taille que par son contenu). On n’est pas loin d’un plan thèse, antithèse, synthèse (au plus exactement constat, apport théorique, implications « pratiques »), avec une seconde partie théorique hypertrophiée et dont j’ai trouvé une bonne partie plutôt déconnectée du propos même du livre (bien qu’intéressante du point de vue de ma culture générale, jamais je n’ai autant lu sur Bachelard…). Est-ce que Monsieur Astolfi est encore tout parqué de son parcours scolaire ou est-ce un passage obligé pour avoir l’oreille attentive des pédagogues de tous poils ?